Alors un jour j'ai tiré sur un côté et me suis aperçue que ça se détachait facilement. Je suis alors passée en mode guerrière, j'ai fait sauter toutes les lattes du mur à la porte fantôme, à grands renforts de jurons (faut croire que finalement ça n'était pas si fastoche que ça). Ensuite j'ai dévissé les tasseaux et me suis félicitée du travail accompli. Puis j'ai fait un petit tour sur moi. Petit tour que j'ai fini la mine déconfite et le moral en berne. Encore 2 murs à se farcir...
Non, nous n'avons pas une pièce pourvue de 3 murs, y'en a bel et bien 4 seulement le dernier était pas mal alors on l'a laissé tranquille. Je l'ai juste badigeonné un peu!
Du coup c'est Fred qui a pris le relais pour dégager tout ce bois de là.
Moi je suis passée direct à l'étape suivante: le détapissage. Juste à l'eau chaude, mais en y passant de longues heures!
Ensuite il a fallu bricoler l'électricité (hasardeuse), virer les chevilles des murs (et ça n'est pas une mince affaire quand ce sont des chevilles molly, foie de Juliette), reboucher les trous, plâtrer et faire du cache misère en lieu et place de l'ancienne porte. On en est là actuellement puisque je traîne à passer l'enduit...
Vous voulez voir la pièce dans son jus?
en cours de détapissage |
Sur votre droite, l'emplacement de feu le radiateur |
Le mur surprise... |
et celui qu'on a épargné |
mais aussi l'électricité douteuse... |
2 commentaires:
foie d'morue? à l'huile? ou foi de Juliette? en tout cas, il en faut du courage, ma foi, (une fois, aussi) pour se coltiner ce travail...
et c'est qui qui t'a appris des gros mots? en tout cas, c'est pas transmis par ton éducation (très comme il faut)
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